publié le dimanche 5 décembre 2010
« À partir de deux jusqu’à beaucoup et même trop, la sœur et le frère forment un groupe qu’on appelle la sorofrèrerie. »Il fallait bien un événement d’importance pour me contraindre à reprendre la plume, ou plutôt le clavier, trop longtemps délaissé, et contribuer à cette rubrique. Le voici. Le dernier Ponti. Quand j’ai appris sa sortie et son titreSœurs et frères, je me suis dit : Zut alors ! C’est le syndrome Anthony Browne, un resucé familial un peu lourd. Mais pas du tout ! C’est la suite logique du Catalogue de parents pour les enfants qui veulent en changer, une bonne suite logique et délicieuse. Comme une adorable amie me l’a offert un matin de classe sur les lieux du crime, j’ai immédiatement chamboulé mon programme de la matinée, et testé le livre sur mes quatre ans, dont deux nouvellement munis de sorofrèreries. Effet garanti immédiat !
Un extrait ?
« les sœurs et frères à l’état de bébé ne savent rien faire d’autre que crier (brailler), manger (bouffer), dormir (ronfler), sentir fort (puer), faire pipi (beurk) et baver avec le nez qui coule (bavamorver). Les bébés sont inutiles et de plus dérangeants, voire emmerdouscailleurs. »
Là c’était le regard des deux néo-sœurofrères, très embarassé genre on-a-le-droit-de-rire-sans-culpabilité ? Les autres étant déjà hilares, ça les a détendus.
Un extrait en image ?
Une tout exprès spéciale voix-haute-nous-on-aime-les-livres...
Un extrait ?
« les sœurs et frères à l’état de bébé ne savent rien faire d’autre que crier (brailler), manger (bouffer), dormir (ronfler), sentir fort (puer), faire pipi (beurk) et baver avec le nez qui coule (bavamorver). Les bébés sont inutiles et de plus dérangeants, voire emmerdouscailleurs. »
Là c’était le regard des deux néo-sœurofrères, très embarassé genre on-a-le-droit-de-rire-sans-culpabilité ? Les autres étant déjà hilares, ça les a détendus.
Un extrait en image ?
Une tout exprès spéciale voix-haute-nous-on-aime-les-livres...
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