Pour permettre aux enfants de saisir que l’activité de compréhension est un travail mntal très intense, le maître pose très tôt, dans l’échange oral au sein de la classe, qu’on peut avoir « du mal à comprendre » ce qu’a dit quelqu’un, lui-même, ou un enfant de la classe, ou quelqu’un qui n’est pas là. Dans la continuité, il pose qu’il y a des « histires difficiles à comprendre » parce qu’elles sont longues, ou compliquées, ou écrites avec des mots difficiles, et qu’on a le droit de se poser des questions sur elles, qu’on a même intérêt à les dire, car cela peut aider tout le monde. Dès lors, la compréhension peut devenir une tâche-problème
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